Saez – Clandestins – Paris 2005
La chanson Clandestins provient de l’album Debbie (3ème album studio) de Damien Saez, et dans cette vidéo en streaming, il s’agit d’un live acoustique en juin 2005, dans la salle parisienne des Bouffes du Nord.
Paroles Clandestins, par Damien Saez
Dans la chambre sans bruit
La nuit nous faisons route.
Amoureux solitaires
Sans regarder derrière.
Nous fuyons tous les deux,
Tu me dis qu’on est fou,
Alliés, là dans l’ombre,
Tu éclaires
Dans les draps de satin noir
Noires étaient nos nuits blanches.
Toi tu m’ouvrais la voie,
Moi je cambrais les hanches.
Au brûlant de la peau,
Au puissant des parfums
De la sueur de l’autre.
Comme deux sans abris
Au milieu de l’orage.
Sous les coups, sous la pluie
Nous joignons nos visages.
Au-delà des réels
Mon amour avec toi,
Allez viens on s’arrache,
Allez viens on se crashe !
Evadés,
Clandestins
Allez viens…
La nuit nous faisons route.
Amoureux solitaires
Sans regarder derrière.
Nous fuyons tous les deux,
Tu me dis qu’on est fou,
Alliés, là dans l’ombre,
Tu éclaires
Dans les draps de satin noir
Noires étaient nos nuits blanches.
Toi tu m’ouvrais la voie,
Moi je cambrais les hanches.
Au brûlant de la peau,
Au puissant des parfums
De la sueur de l’autre.
Comme deux sans abris
Au milieu de l’orage.
Sous les coups, sous la pluie
Nous joignons nos visages.
Au-delà des réels
Mon amour avec toi,
Allez viens on s’arrache,
Allez viens on se crashe !
Evadés,
Clandestins
Allez viens…
Allez envoie le corps, au défi de l’hardcore
Allez envoie tes rêves, allez envoie tes lunes,
Allez crame mon âme qui nous brûle passion, que nous
Mène l’union aux hallucinations,
Que la peur dans tes yeux fasse monter l’acide jusqu’au bord
De tes lèvres aussi noires que la nuit qui nous emmène
Au large sur des terres sacrées où l’on aime à saigner,
Où l’on aime à s’aimer.
Que l’on meure maintenant dans ce lit, fugitifs,
Accrochés à nous-mêmes, perdus sur le récif ;
Que s’arrête le temps !
Que continue l’instant !
Et que s’ouvre l’abysse devant toi mon amour
Aller délivre moi du plaisir qui nous ronge
Allez libère toi au violent de nos songes
Allez transe avec moi sans jamais t’arrêter.
Toute nue sous l’orage, je veux te voir pleurer
Hors de moi !
S’évader,
Clandestins
Dérapés.
Allez envoie tes rêves, allez envoie tes lunes,
Allez crame mon âme qui nous brûle passion, que nous
Mène l’union aux hallucinations,
Que la peur dans tes yeux fasse monter l’acide jusqu’au bord
De tes lèvres aussi noires que la nuit qui nous emmène
Au large sur des terres sacrées où l’on aime à saigner,
Où l’on aime à s’aimer.
Que l’on meure maintenant dans ce lit, fugitifs,
Accrochés à nous-mêmes, perdus sur le récif ;
Que s’arrête le temps !
Que continue l’instant !
Et que s’ouvre l’abysse devant toi mon amour
Aller délivre moi du plaisir qui nous ronge
Allez libère toi au violent de nos songes
Allez transe avec moi sans jamais t’arrêter.
Toute nue sous l’orage, je veux te voir pleurer
Hors de moi !
S’évader,
Clandestins
Dérapés.